Panoramique du chœur et de l'abside. L'ancien Maître Autel est en onyx de Constantine (Algérie - 1901). Dans l'avant-chœur, l'Autel et l'Ambon sont l’œuvre du sculpteur Philippe Koeppelin. Toutes les boiseries sont du XIXe siècle.
Côté Est, tournée vers Jérusalem, la cathédrale offre une vue saisissante des vitraux et des arcs de l'abside jouant avec les ombres et la lumière.
La nef et, derrière l'autel, l'orgue de chœur aux 2 claviers et 15 jeux.
Côté gauche du chœur.
Côté droit du chœur. En
dessous du chapeau ecclésiastique, une banderole
Sur le rebord du fauteuil, un mot énigmatique en latin : "PRÆPARATIO"
Côté occidental, au-dessus du portail de l'entrée principale, un très bel orgue qui comprend 4 claviers, un pédalier de 30 notes, 70 jeux et 5000 tuyaux. Le buffet a été réalisé par Jean-François l'Epine l'aîné en 1778.
La statue, en marbre de Carrare, est de Santarelli (1840).
Toujours dans la nef, la chapelle latérale dédiée au Sacré-Cœur de Jésus avec, à droite, son vitrail.
La chapelle latérale de Saint-Michel. Le tableau représente Saint-Michel terrassant le démon.
... reproduit, ci-dessus, lorsque la lumière du soleil éclaire le vitrail. Au centre, un vitrail de l'abside vu de face. À droite, saint Pierre la clé de l'église à la main.
Au bas du vitrail de saint Pierre, l'on peut lire l'inscription suivante (cliché ci-dessus) : "Les vitraux de ces chapelles et du transept ont été faits par Paul Nicod, peintre verrier. Paris, 1870-1872." Pour information : les chapelles sont celles de saint Pierre et du Saint Sacrement.
De nombreux autres vitraux...
... éclairent la cathédrale. Tous les vitraux ont été restaurés en 1984.
... la rosace finement ciselée couronnant le portail gothique...
À une centaine de mètres de la chapelle, encadrée par les rues de Fantanon, de la Confrérie et du Four Saint Eloi, la place de l'Université...
... surprend le promeneur. Une très belle statue abordant le thème biblique "le Paradis perdu" s'élève au centre, posée là comme dans un écrin. Adam et Eve tendrement enlacés avec, à leurs pieds, deux bambins offrent l’image de la famille idyllique unie par l’amour qu’ils se portent mutuellement. Mais laissons Roland Jolivet décrire cette œuvre : « La statue fut créée en 1882 par Jacques Augustin Dieudonné. Adam et Eve ayant perdu leur nez et quelques doigts, le sculpteur montpelliérain Auguste Baussan fut contacté pour réparer les dégâts. C'est ainsi que l'on put dire qu'Adam et Eve eurent un nouveau nez (1). En 1956 le marbre fut transporté place de l'Université où il se trouve toujours près du magnolia. »
(1) Un nouveau-né sous-entend l'espiègle Jolivet.
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