Mercredi 13 décembre 2006 à Montpellier...
Sur la bâche qui sépare le vestibule où se déroulera le goûter à la fin de la séance et l'atelier proprement dit, les enfants ont dessiné des arabesques de toutes les couleurs autour de leur photographie.
L'atelier du cirque-école Balthazar
20 décembre 2006 au Domaine d'O...
L’acrobate, une chaise métallique en main, s’élance et d’un seul élan s’élève dans les airs sous le regard de deux charmantes demoiselles.
Il a réussi son tour d’équilibriste et, à genoux, se présente devant les demoiselles d’honneur qui dépose sur sa tête une couronne royale bien méritée.
L’équilibriste dans le cerceau et les jongleurs de massues lui succèdent.
Suivent les cyclistes sur vélo dont seule la roue arrière est dirigeable. Puis vient la voltige sur corde lisse...
Les porteurs accompagnent et favorisent habilement les différentes postures d'une jeune mais déjà brillante élève. À droite, les deux trapézistes en pleine action déchaînent un tempête d'applaudissements.
Après toutes ces démonstrations de force et d’agilité, les jongleurs, acrobates et trapézistes saluent le public avant de passer à la distribution des cadeaux de Noël. La toute jeune mère Noël saupoudre ses compagnons de scène d’un nuage étincelant et magique qui les plonge dans un profond sommeil.
Le père Noël peut alors arriver sans se faire voir et distribuer les cadeaux aux dormeurs. Mais il s’est trompé dans sa distribution et c’est le prétexte à une sorte de farandole pour redonner à chacun ce qui lui revient exactement. Les paquets multicolores passent d’une main à l’autre sous les bravos et les cris du public.
C’est le lancer de friandises aux enfants avant la ronde finale, le père Noël en tête.
... ou bien ces deux gardiens de l’entrée de l'amphithéâtre en robe longue peinte de couleurs vives. Tous les murs sont montés en gabions...
... y compris ceux de l’extérieur qui forment un passage aux larges marches que nous empruntons sans nous presser pour rejoindre notre voiture.
Vue de la structure métallique de l’amphithéâtre d’O emprisonnant ses murs en gabions.
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