Balade
dans Montpellier...
Une
cité entre tradition et modernité
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Galerie
Saint Ravy du 5 au 15 septembre 2013

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Réalisation
d'Emilie Losch
Constitué
de 34 éléments de cuivre oxydés au
chalumeau, ce module représente le plan
de la galerie Saint Ravy. On peut jouer
avec les différentes parties articulées
pour suggérer une possible déconstruction
et reconstruction et cela à l'infini.
Sur
la table transparente, huit lignes de dix
pliages progressifs du plan de la galerie
Saint Ravy sont comme autant de variations
d'une même représentation.
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Réalisation
d'Emilie Losch
C'est
une vidéo qui montre une construction qui,
étape après étape, se dilate puis se contracte
jusqu'à devenir une simple cellule. Représentant
l'origine et la fin, cette réalisation fait
écho à l'existence éphémère terrestre et
aussi à l'univers comme le suggère la théorie
du big-bang.
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Réalisation
d'Emilie Losch
C'est
une maison réalisée avec du fer à béton de trois diamètres
différents. La croissance de la maison est ici suggérée
par imbrication des trois éléments.
Structure
destinée à mesurer l'espace et à l'abriter, elle modélise
aussi une boucle d'oreille géante et interroge l'échelle
des choses dans une expansion toujours croissante à
l'instar de la planète Jupiter en astrologie sidérale.
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Réalisation
de Gwendoline Samidoust
Sculpture
poétique à la limite du dérisoire, Equilibrium
traite des prothèses de l'Homme urbain dans un
dialogue univoque de l'organique à la matière
anorganique le plaçant ainsi dans une
situation d'équilibriste à la recherche
de sa délicate et fragile verticalité
: "Comment tenir debout ?"
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Réalisation
de Gwendoline Samidoust
Les
cormords sont des boulets de béton
comportant une hanse. Utilisés à la navigation,
ils servent d'amarre
pour bateaux et les ancrent, non pas
à quai, mais au large. Ici, les cormords
confèrent au sol de la salle une certaine
liquidité. Immergés dans cet univers relatif,
les cormords ressemblent à des pèlerins
désorientés qui partent à la dérive dans
l'espace et le temps.
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Réalisation
de Gwendoline Samidoust
Intitulée
"Encrage", cette photographie argentique renvoie
à des origines multiples, à un sentiment d'enracinement
territorial dans une nappe d'un pétrole devenu indispensable
à une humanité déréglée.
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Réalisation
d'Emilie Losch
L'ombre
portée de l'escalier sur le silo de béton reproduit
l'image de l'ADN.
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Réalisation
d'Emilie Losch
Petite
tour en laiton : un doigt peut venir combler le vide central.
Si
l'on déconstruit la tour, les différents modules apparaissent
comme le plan d'une maison avec en son centre un atrium.

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Un
article élogieux paraît dans le magazine "L'Hérault
du jour" du mardi 10 septembre 2013.
Souhaitons
beaucoup de succès à ces deux jeunes et talentueuses
artistes.
(Cliquez
sur l'image du journal pour l'agrandir)
Fin
de la visite
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