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Balade dans Montpellier... Une cité entre tradition et modernité |
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La rue de la Petite Loge.
La rue
d'Embouque-d'Or
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Page 1. Ce matin-là le temps était plutôt au gris, mais...
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... tout de bronze vêtu, Jean Jaurès au centre de la place du même nom, ne manifestait apparemment aucune contrariété à ce sujet. Notons que la statue, copie de celle installée à Castres en 1924, fut inaugurée le 27 février 1999 (voir la photo de droite).
Sous la place, les vestiges de l'église de Notre-Dame des Tables et de la crypte de l'église primitive Sainte-Marie attendent votre visite en cliquant sur la vignette de l'accueil intitulée "La crypte de N. D. des Tables". |
Pour une visite des alentours, il suffit de traverser la place Jean Jaurès pour se trouver devant la rue tortueuse de la Petite Loge...
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... qui propose à ses habitués ses restaurants, pizzerias et salon de thé.
La rue de la Petite Loge débouche, sur la gauche, place Pétrarque où l'on découvre un bar anglais "The Shakespeare" qui fait l'angle. Dans la même rue, au numéro 10, se tient à l'intérieur d'une cour, une galerie de photographies touchant à des événements récents. Entrons si vous le voulez bien...
... pour découvrir une courette au charme suranné. À droite, sous l'arcade, s'ouvre la galerie. Il m'a été demandé de ne pas photographier l'intérieur et les photos exposées. Au demeurant, de superbes photographies où l’œil aiguisé du photographe a saisi l'instant unique, lorsque la lumière met en valeur le sujet, pour faire d'un simple cliché une œuvre d'art.
En prenant à droite, sur la rue Embouque-d'Or se trouve, au numéro 4, l'Hôtel de Manse, une belle bâtisse du XVIIe siècle. Je n'ai pas pu visiter l'intérieur et photographier l'escalier, la porte étant fermée. Cette visite manquée me laisse un peu plus de temps avant la pause repas.
Quelques jours plus tard, vers 18 heures, la nuit est déjà tombée. La porte de l'Hôtel est ouverte, un menuisier travaille dans une pièce voisine du hall d'entrée (la pièce éclairée). L'escalier en pierre, dont la rampe est assez lourdement ouvragée, présente au coin gauche une sculpture en forme de coquille surmontée d'un lacis de feuilles pour joindre les deux volées.
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Sur cette photographie et la suivante, l'on voit très bien une sorte de monstre marin qui fait le raccord entre les deux parties à angle droit de l'escalier. Sur le cliché de droite, les détails de la sculpture assurant la jointure entre les deux volées de l'escalier. |
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Les dernières marches conduisant à l'étage. |
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La galerie de l'étage avec ses poteries et ses très beaux vitraux se faisant face. |
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La cour et le couloir donnant sur la sortie, rue Embouque-d'Or.
Je referme cette parenthèse nocturne pour revenir à notre tour d’horizon initial.
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Faisons ensemble un saut rue de l'Aiguillerie pour y découvrir l'Hôtel de Griffy qui jouxte l'herboristerie "La Quintessence". Par chance, la porte de l'Hôtel est ouverte. Entrons et admirons... |
... la cour intérieure de l'Hôtel où prend naissance un escalier dont la rampe date de 1760.
Toujours rue de l'Aiguillerie, au numéro 31...
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... l'Hôtel de la Société Royale des Sciences. À l'intérieur, un bel escalier en pierre dessert les étages supérieurs. |
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Au numéro 29, l'Hôtel Estorc... |
... dévoile sa courette intérieure et son bel escalier. D'anciennes ouvertures, aujourd'hui obturées, sont soigneusement préservées.
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(Cliquez
sur le tableau animé pour voir
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Un peu plus loin, faisant angle avec la rue de la Carbonnerie, le magasin de jouets "Pomme de Reinette", très connu des Montpelliérains. À droite, un cliché de l'entrée du magasin rue de l'Aiguillerie pris à la mi-journée.
en page 2 : La place de la Chapelle Neuve, la rue Collot et, rue Valedeau, l'hebdo satirique l'Agglo Rieuse. |
