Balade dans Montpellier...

Une cité entre tradition et modernité

 

 

 

De la place de la Chapelle Neuve

à la rue Collot avec une halte, rue Valedeau,

devant l'hebdo satirique l'Agglo Rieuse.

 

 

Page 2. Pause-déjeuner place de la Chapelle Neuve...

 

... où nombre de restaurants ouvrent leurs parasols pour accueillir les estivants et les Montpelliérains. Sur le mur qui fait face, une plaque indique l'emplacement de l'ancien Collège du Vergier. Ma femme et ma fille sont attablées et m'attendent pour un repas sans prétention. C'est en leur compagnie que je poursuis cette balade.

 

 

Petite Histoire de la place de
la Chapelle Neuve.

Située à l’embranchement de la rue de l’Aiguillerie et de celle des Ecoles laïques, la place de la Chapelle Neuve a connu diverses vicissitudes au cours des siècles derniers. C’est ainsi qu’à l'emplacement de cette chapelle détruite par les protestants en 1562, fut créée une place qui a abrité pendant longtemps un mât surmonté d’un bonnet phrygien.

Elle a été réaménagée en 1982 d'après les plans de l’architecte Bernard Voinchet.

 

 

Ce fructueux détour accompli, nous revenons maintenant...

 

... à l'angle de la rue Embouque-d'Or et de la rue Collot où se tient un atelier d'encadrement "Au cadre doré".

 

  

Les devantures du magasin d'encadrements de tableaux. À gauche, celle de la rue Embouque-d'Or présentant deux peintures du Sétois Hervé Di Rosa. À droite, celle de la rue Collot. Vous pourrez admirer une autre œuvre de Di Rosa en cliquant sur la vignette de l'accueil : "Les rues de Montpellier" (page 6).

 

 

La rue Embouque d'Or forme un coude devant le magasin "Au cadre doré" en débouchant rue Valedeau. C'est dans cette petite rue, à deux pas de la rue Jacques Cœur, que siège "l'Agglorieuse". Il conviendrait plutôt d’écrire "l'Agglo Rieuse" en référence à l'Agglomération de Montpellier. Une petite salle, pas de téléphone mais les murs et la vitrine recouverts d’affichettes plus drôles les unes que les autres qui donnent à cet hebdo satirique un petit air de "Canard enchaîné" local. Et, ce qui ne gâte rien, un directeur (en tout cas, le permanent de service) à l'accent chantant qui vous reçoit le plus cordialement du monde en vous remettant d'anciens exemplaires de "l'hebdo qui sait emballer le poisson". En plus du poisson il sait aussi, vous l'avez deviné, écailler les édiles montpelliérains mais aussi  les personnages nationaux.

 

Revenons à la rue Collot où nous découvrons...

 

 

  

 ... au passage, la singulière enseigne en fer forgé d'un magasin d'antiquités.

 

  

La rue Collot longe la place Jean Jaurès. Boutiques d'antiquités, estaminets et restaurants y ouvrent leurs portes, profitant de la proximité de la place et de l'attrait qu'elle exerce sur les badauds.

Nous voilà revenus place Jean Jaurès. Notre petit mais instructif vagabondage s'achève ici. Mais auparavant, jetons un coup d'œil à la devanture du magasin d'antiquité.

 

  

 

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Sur l'embrasure de la porte d'entrée, Napoléon à cheval nous montre du doigt le chemin. Il nous attend à l'intérieur, la main droite dans la poche de son gilet, au milieu de ses grognards.

 

Lundi 3 mars 2014 : la grille métallique du magasin d'antiquité est fermée. Une affichette collée sur la porte d'entrée vitrée indique la mise en vente du pas-de-porte du commerce.