Balade dans Montpellier...

Une cité entre tradition et modernité

 

 

 

 

les 15, 16 et 17 août 2007 

 

Bienvenue !

      

Benvenuti !

¡Bienvenido!

 

 

 page 2 : journée du jeudi 16 août 2007 aux environs de 9 heures ...

 

   

J'arrive par la Grand rue Jean Moulin et je prends à gauche la rue En-Gondeau...

 

   

... puis la rue du Plan d'Agde. Il n'y a pas beaucoup de monde dans les rues ce lendemain de l'Assomption. À la vérité, elles sont désertes. Saint Roch se profile à l’extrémité de la rue. L'un des vantaux du sanctuaire est ouvert. Je suis en retard...

 

   

... la messe a commencé. Les voilà, les gens qui n'étaient pas dans les rues ! Ils sont venus à l'office matinal. Je prends quelques clichés de la chapelle de la Vierge et j'attends la demi de 9 heures pour me rendre à la Maison des relations internationales d'où  démarre le Corteo d'Acquapendete.

 

    

Je prends la rue de L'Ancien Courrier pour rejoindre la rue de la Loge où les organisateurs de la visite du puits de saint Roch ont monté un stand encore rudimentaire...

 

... dont les panneaux grillagés sont couverts d'affiches donnant des renseignements sur la vie du saint homme.

 

Je ne m'attarde pas et je rejoins la place de la Comédie puis l'Esplanade. L'horloge du théâtre marque 9 heures 35. Les cafés sont déjà fréquentés et la place connaît une certaine animation. Les marchands de fleurs sont à pied d’œuvre mais les clients ne se bousculent pas. Il leur faudra un peu de patience pour leur premières affaires.

 

 

J'aperçois au loin, entre le Corum et la Maison des relations internationales un attroupement.

Je pense qu'il s'agit du Corteo d'Acquapendente.

 

 

  

Je ne me suis pas trompé, c'est bien le Corteo. Benvenuti signore Spartaco ! Quelques accords de trompette pour se mettre dans l'ambiance de la fête avant le départ du cortège. Signore Mauro et une charmante échevine sur l'Esplanade, échangent aimablement quelques mots.

 

    

 La très jolie demoiselle qui conduit le cortège italien des Sbandieratori, Corteo storico d'Acquapendente.

 

En attendant le départ du cortège, entretien entre gentes dames et exercices de lancer de bannière.

    

  

Le cortège se met en place, le fanion de saint Roch en tête. Le Corteo d'Acquapendente suit, mené par la jeune porteuse du glaive soutenant le gonfanon denté au lion noir debout toutes griffes dehors.

 

    

 Les autres figurants de la troupe suivent...

 

 

... au son du tambour des Sbandieratori.

 

 Les porteurs de drapeaux les font virevolter...

 

    

 ... de main de maître. Une véritable féerie se déroule devant les yeux des quelques passants attardés.

 

 La file des porte-drapeaux le long de l'Esplanade.

 

 

La tête de la procession va déboucher sur la place de la Comédie.

 

Les trompettistes saluent la Comédie à leur façon. Tout à fait claironnante !

 

Le cortège passe place de la Comédie. Il est dans les temps si j'en crois l'horloge de l'opéra.

 

 

La bannière de saint Roch défile devant les cafés de la Comédie...

 

 

... ainsi que le Corteo.

 

     

Tous se dirigent vers la rue de la Loge.

 

Le cercle de la rue de la Loge qui sera le lieu, deux heures plus tard, des prouesses des lanceurs de drapeau.

 

   

Les drapeaux tournoient rue de la Loge.

 

   

Bifurquant rue de l'Argenterie, le Corteo s'annonce au son des trompettes.

 

   

Devant le magasin « Seven forever », rue de l'Argenterie.

 

   

J'arrête deux ou trois secondes la marche en avant du cortège pour faire un cliché de près de l'épée et du gonfanon... Et je me fais tancer vertement (en français et sans accent !) par la responsable italienne du Corteo qui me suivait comme mon ombre. « On vous voit partout ! Vous n’avez pas le droit d’arrêter le cortège ». Je me dis qu'elle a tout à fait raison, mais saisi par la fièvre mystique de la procession, je me suis permis cet acte qui, en d’autres circonstances, m’aurait paru totalement insensé.

 

   

 Rue Cauzit qui mène à la rue Joubert.

 

Le cortège s'engage rue Joubert. Une plaque indique la direction de la place Saint Roch.

Il n'y a que quelques semaines, il y avait encore à la place de cette affreuse cocotte en cuivre un joli panonceau peint qui était malheureusement un peu délabré. Plutôt qu’une bonne restauration, la mairie (mais est-ce bien la mairie qui par ailleurs montre son ambition pour l'art) a préféré un échange avec une horreur, degré zéro d'un sous-art décadent.

 

   

Rue de l'Ancien courrier, le cœur de la vieille ville.

 

   

Rue Jacques d'Aragon et rue En-Rouan.

 

   

Place Saint Côme.

 

  

Place Saint Côme et rue En-Rouan.

 

Rue de Vallat, côté presbytère de Saint Roch.

 

   

Le cortège arrive sur la petite place, confluence des rues de Vallat, de Saint Paul et du Gagne Petit. Des restaurants étalent leurs chaises et leurs tables sous les parasols.

en page 3 : le cortège arrive sur la petite place,
confluence des rues de Vallat,
de Saint Paul et du Gagne Petit.

La baronnie de Caravètes rejoint le cortège.

  retour à
  l'accueil

 

 page
 précédente

la suite en
page 3